Une petite ruelle traversée, et après avoir enjambée le junkie affalé le nez dans une flaque, les poches vides et le coeur immobile, je m'enfonce doucement dans le flot de la foule de Parkman Street. Une prostituée tous les coins de rues, qui vous collent autant que les enseignent clignotantes de club de strip-tease. Des gens louches, des videurs patibulaires, et des pauvres types dont la seule caractéristique est dfd'habité dans ce quartier pourri, parce que les immeuble sur la 1ère sont trop cher.
Mais je connais tout le monde ici. Ce monde, c'es tmon monde. Enfin, c'était, jusqu'a ce que je rentre dans la police. Après mon accident.

Je me rend compte à quel point j'ai perdu mes repères quand je dois trouver un chirurgien clandestin. Les portes se ferment, les lèvres se cousent, Les regards me suivent.
Ma réputation me précèdent; ils ont tous peur de ce que je représente, et ils croient tous que c'est un guet-apens. Arpès tout j'ai vu bien pire. Et j'ai fait bien pire... Mais tous les " petits mafieux " de cette immense ville qu'est devenue notre belle planète ravagée par la pollution ne nous intéressent pas. Au contraires, ils font tourner la machine. Bouc émissaires parfait.
Mais eux, ils ne le savent pas. Je suis donc quelqu'un de la NPA qui veut les coffrer, au coffrer leur ami, ou leur frère, ou leur petit ami, ou celui qui les entretiens. Mais j'ai toujours quelques anciens contacts.

Là, c'est dans cette ruelle sombre. Derrière moi le sourd grondement de la rue continue. Des antiques voitures a pétroles continuent de rouler, même après que les antigravs soit monnaie courante... Du moins pour qui avais les moyen de se les payer. Ce qui n'était le cas de personne sur Sincerity Hil, qui portait bien son charmant surnom de Sin Hill.
J'arrive au garage du vieux Moe. Son vrai nom est bien sur Vlad Ponaski. Et derrière ces vitres crasseuses ce cahces enfait le plus gros dealer d'endomorph du Sin Hill. Si l'endomorph est tombée en disgrace auprès des hauts dignitaires, qui se shoote a quelquechose de plus.. Exotique, elle reste très prisée, et surtout ingérées par les millions de déshérités des bas quartiers. Pour cause: Son prix très modique.... Enfin, pour la " chimique". La "naturelle " plus puissante valait son pesant de caouète.
Mais je n'étais pas là pour ça.
J'évite les trois ou quatres camés dans leur trip et je m'avance vers la porte du hangar brinquebalant.
La dedans, il n'y a rien de spécial. Des ouvriers, pour la plupart asiatiques ou d'est europe, bien que ces démarcatiosn géographique n'existe plus, car nous sommes le " peuple unifié ", bossent sur des voitures bonne pour la casse, tandis que "Moe" regarde tout ça d'un oeil bienveillant de son bureau;air bienveillant qui disparait sitot qu'il me voit. De quelques gestes j'expédie les gros bras devant son bureau, et je vire le dealer miteux qui venait sans doute gratter de l'argent.
Je le regarde droit dans les yeux, droit comme un I devant cette immense tas de graisse et de muscle, qui de plus est doté d'une ruse quasi divine quand il s'agit de faire du fric.
Je lui balance en deux mots mon affaire, que je suis dans la merde et qu'il me faut de toutes urgence échangé ma puce de contrôle.
Il me fait comprendre que ça ne serait pas gratuit ni immédiat, je lui répond en lui fourrant mon canon de pistolet sous le nez et en lui disant que la vie que j'avais sauvé, je pouvais la reprendre a tout moment, selon la loi.
Vlad, bien que fourbe, comprenait très vite quand je plaisantais ou pas. Il appuya sur un bouton de son bureau, camouflé derrière un tiroir.
Un escalier dérobé s'ouvrit dans le mur droit du bureau, séprarant en deux un tableau de maître. Je grimaçais. Moe avait un garage miteux mais du goût en matière de peinture. Et les moyens qu'il fallait avec.
Il m'invita a le précédé mais je n'était pas né de la dernière pluie, et le fit descendfre les marches avant moi.
Le décor aurait surpris n'importe qui sauf moi. J'étais déjà venu ici, je connaissais les recoins. J'était le bras droit.

Avant l'accident.