Titre original : Jigoku Shoujo, Jigoku Shoujo Futakomori (saison 2), Jogoku Shoujo Mitsuganae (saison 3) Titres alternatifs : La Fille des Enfers, Hell Girl, Jigoku Shôjo Années de production : 2005 - 2008 Studio : Studio Deen & Aniplex Genre : Horreur, mystère, drame, psychologique & supernaturel Auteur : Watanabe Hiroshi Anime : Saison 1 - 26 épisodes de 26 mins // Saison 2 - 26 épisodes de 26 mins // Saison 3 - 26 épisodes de 26 mins
Une légende urbaine raconte qu'il existe un mystérieux site Internet, le Courrier des Enfers, auquel on ne peut accéder qu'à partir de minuit… Il est dit que si vous voulez prendre votre revanche sur quelqu'un, il suffit d'aller écrire son nom là-bas. Le lendemain, la Fille des Enfers viendra emmener votre ennemi en enfer, à la condition que vous lui confirmiez votre désir de vengeance. Par contre, une fois la revanche effectuée, votre âme sera damnée et se perdra en enfer le jour de votre mort… Mais n'est-ce pas le prix à payer lorsqu'il n'y a plus d'espoir ?
Source : Animeka & Nautiljon
À défaut d'avoir vue l'anime, je vous copie/colle une critique de Nolfin sur Animeka.
Jigoku shoujo prend le parti de ne traiter presque exclusivement que de sujets tels que l'injustice, le désespoir et la souffrance. En cela, on se retrouve confrontés à des scènes assez dures dans la mesure où le sentiment d'injustice se transfert bien de l'anime à nous. Par ailleurs, la succession et la répétition de ces thèmes imposent au fil des épisodes un climat bien particulier qui est la grande force de cette série. Cet atout qui marque la singularité de l'anime joue sur la redondance dans une sorte de spirale infernale. Jigoku Shoujo frise avec la monotonie dans le premier quart de la saison, et d'une manière générale, la série manque un peu de rythme. Heureusement, son atmosphère unique gorgée de mélancolie nous plonge dans ces histoires inexorablement douloureuses. Cette réussite réside évidemment dans le personnage de la Fille des Enfers (Enma Ai), une esthétique née du paradoxe « kawai ténébreux » très séduisant (sa voie japonaise est tout à fait remarquable), qui est le véritable fil rouge (private joke) entre des épisodes assez indépendants. La bande originale et les graphismes sont de très bonne facture, l'animation en revanche manque souvent de fluidité. Dans le schéma de la série, Jigoku Shoujo m'a fait penser à Mushishi : chaque épisode nous raconte une histoire isolée qui déborde rarement sur un autre épisode, puis la sauce commence à prendre au fil du temps et on s'attache aux personnages secondaires. En résumé, Jigoku Shoujo est un bon anime qui a le mérite de poser une ambiance unique, les épisodes se laissent bien regarder et je garde un bon souvenir de la série.
Non, pas encore! J'ai commencé Another, mais je pense écouter celui-ci aussi. J'ai lus quelques spoils (mdr) et critiques; ça l'air plutôt bien. Même si, apparement, le début est un peu long, l'intrigue se faisant attendre.