Nao•••••••••••••••••••••••••• Nombre de messages : 2378Age : 33Localisation : 서울Date d'inscription : 11/06/2010•••••••••••••••••••••••••• | Sujet: [Ecriture] - Battle n°5 Sam 9 Mar - 0:06 | |
| Place aux votes - La prairie merveilleuse:
Elle frissonna un peu lorsque le vent souffla un peu fort. Nagisa était assise seule sur le banc, dans le parc en face de la boulangerie familiale. Depuis les premières années du lycée elle avait pris l’habitude d’aller après les cours au parc. Au début c’était surtout pour s’entrainer, jouer des passages de pièces de théâtres. Et puis, lors de sa dernière année, elle avait rencontré Tomoya et c’était devenu leur point de rendez-vous, là où ils discutaient après les cours de ce qu’ils allaient faire au club de théâtre, où ils goutaient aussi parfois. C’est ici qu’il lui avait offert des brochettes de dango, c’était son premier présent, elle ne pouvait pas oublier ce soir-là. Mais aujourd’hui était un jour particulier, l’année scolaire était terminée, il fallait choisir où aller ensuite. Nagisa et Tomoya était devenu intime, elle avait besoin de lui car elle était encore faible, mais elle ne savait pas si leurs choix résisteraient à leur amour naissant… Ils avaient réussis ensemble et avec leur amis à monter sa pièce, la pièce qu’elle avait toujours eu en tête, avec laquelle elle avait construire ses années de lycée. Aussi surprenant que cela paraisse, elle avait eu le courage de postuler dans des universités dans l’art théâtral suite à sa représentation. Cependant, elle savait que le Japon n’était pas très compétent dans ce domaine, ou alors dans le domaine traditionnel du théâtre Nô qui ne l’attirait pas. « Je ne sais vraiment pas quoi faire … Serais-je capable de quitter mes parents, la ville ? » Perdue dans ses pensées, exprimées à voix haute elle n’avait pas entendu s’approcher Yûsuke près d’elle. « Tu te poses des questions Nagisa ? Tu peux m’en parler si tu veux, tu sais que j’ai une certaine expérience de la vie. » Yûsuke avait toujours l’art d’utiliser des phrases lourdes. « Je ne sais pas si je peux prendre le risque de partir pour vivre de ma passion … Non je n’oserai jamais partir toute seule ! » dit-elle en secouant frénétiquement sa tête comme pour que l’idée rentre bien dans sa tête. « Bien sur que tu peux Nagisa. Tu es une jeune fille intelligente, tu as tes parents qui te soutiennent et regarde toi : En une année tu as été capable de monter ta pièce et de jouer devant des dizaines de personne. Prend confiance en toi, laisse le vent t’emporter vers de nouveaux horizons afin de vivre ta passion pleinement et t’enrichir de milles façons … » Yusuke s’était encore enflammé mais il eut le mérite de redonner le sourire à Nagisa. « Hihi, merci monsieur Yoshino, vous êtes très gentil. Je n’oublierai pas vos conseils. » Elle le salua et parti chez elle retrouver l’ambiance rassurante de sa maison. Une fois dans son lit elle repensa aux paroles de M.Yoshino. Ses yeux se fermèrent sur des visions de futurs tous plus extraordinaire et inconnus les uns que les autres … Il faisait frais, pourtant elle avait pensé à fermer la fenêtre avant de se coucher. Etrange … Mais... quand elle ouvrit les yeux, elle remarqua qu’elle n’était pas dans sa chambre, ce n’était pas un lieu connu ! Elle tourna sur elle-même, ouvrit grand ses yeux. C’était une prairie, une immense prairie avec de la verdure à perte de vue. C’était une merveilleuse journée de printemps, le soleil brillait bien haut dans le ciel d’un bleu azur. Nagisa fut étonnement émue, elle ne comprit pas tout de suite pourquoi. Elle marcha dans l’herbe douce sous ses pieds nus, elle observait ce monde mystérieux. Elle était seule, mais étrangement, elle ne se sentait pas seule. C’était un environnement serein … et elle sut soudain pourquoi. Cette prairie, c’est un des lieux de sa pièce ! Mais oui ! « Je n’en crois pas mes yeux, j’y suis vraiment. Oh, quel dommage que je sois seule. J’aimerai tellement en profiter avec Papa et Maman, et Tomoya … » A peine ces mots évoqués, qu’au loin apparurent des formes avançant étrangement. Ce n’étaient certainement pas des camarades, ses parents, non ça ne ressemblaient pas à des humains. Des animaux peut-être ? Nagisa attendait, plus les formes se rapprochaient moins elle n’y croyait mais plus elle était excitée. Arrivait devant elle, en roulant, sautant, toute la famille Dango. Une centaine de Dango se promenaient dans ces hautes herbes et venaient entourer Nagisa qui souriait de son plus beau sourire d’enfant. Toute émue, Nagisa tomba à genoux et recueilli dans ses mains un bébé dango. Les Dango formaient autour d’elle un amas de petites boules de couleurs qui la fixait avec leur drôle de visages. Un mouvement se fit parmi eux, ils s’écartaient pour laisser passer le vieux Dango sage. « Ma chère Nagisa, tu sembles avoir quelques soucis ces temps-ci non ? Nous sommes là pour t’aider, nous sommes ta famille Dango. » Ainsi c’était exprimé le sage de la famille. « Euh … oui… Oui ! Mais … êtes-vous réels ? » bégaya Nagisa qui n’en croyait pas ses yeux et ses oreilles. « Bien sur, nous sommes réels dans ton esprit, donc nous sommes réels. Nous avons sentis que tu avais besoin de conseils et de soutient et nous sommes venus à ton secours. Nous te sommes très reconnaissant de nous porter dans ton cœur.» répondit le vieux Dango. « D’accord. Dans ce cas … je suis un peu perdue. Vous savez je suis un peu faible et je n’ai pas beaucoup de courage, donc je ne sais pas quoi faire l’année prochaine pour mon futur. Vous voyez il y a Tomoya… mes amis, et puis mes parents. J’ai envie de faire du théâtre, j’ai vraiment vraiment envie d’en apprendre plus mais je ne me sens pas capable d’étudier à l’étranger… » Se confia donc Nagisa aux dangos attentifs. « Tu as une grande force en toi, mais tu ne l’as pas encore apprivoisée. Te rappelles-tu tes premiers pas sur scène ? L’émotion qui t’a envahie et les mots que tu as réussi à prononcer devant cette salle comble ? Tu as l’âme pure et forte pour devenir une grande actrice. Fais confiance en Tomoya, il te suivra et réussira lui aussi, à tes côtés. Si vous vous entraidez, vous trouverez la solution à vos problèmes. Il a toujours été là pour toi non ? Et puis nous serons là pour t’accompagner quand tu en auras besoin aussi. » « Vous pensez que je peux partir pour devenir actrice ? Vous pensez que je suis prête ? Je ne sais pas … Mais c’est vrai que vos mots sonnent si juste, et puis sur scène je me sentais tellement bien… et forte. Je pourrais partir non loin du Japon, pour pouvoir revoir ma famille et mes amis le plus facilement possible. Tomoya et moi apprendrons une nouvelle langue ensemble, nous pourrons peut être construire notre avenir plus solidement même … » Nagisa commençait à croire aux paroles du vieux Dango sage, elle se disait que si tous les êtres qui lui sont chers l’aidait et la soutenait, elle réussirait à grandir et à s’accomplir loin d’eux. Ses émotions la submergèrent et elle éclata en sanglot. D’un seul mouvement, tous les Dango se rapprochèrent et l’entourèrent pour la consoler. « Je vais bien, je vais bien. Dit-elle en essuyant ses larmes. C’est juste que … je ne me pensais pas capable de me projeter vraiment, et votre soutient m’a fait énormément de bien. Je vous en suis vraiment reconnaissante. Merci beaucoup ! » Sur ces dernières paroles elle s’inclina face à toute la famille Dango. Quelques larmes de joie, d’émotion, roulèrent sur ses yeux clos tournés face au sol. Lorsqu’elle se releva elle se retrouva assise dans son lit, dans sa chambre. Elle frotta ses yeux, tourna la tête vers son réveil et y lu 7 :34. « Oh… ce n’était qu’un rêve, c’est pour ça … » prononça-t-elle de sa petite voix fluette d’un ton un peu triste. Elle se leva, ouvrit ses volets et laissa le soleil levant illuminer son visage. Les yeux fermés, face aux rayons doux du matin elle sentit en elle la naissance d’une nouvelle force. Un sourire timide se dessina sur ses lèvres, ses pommettes prirent une douce couleur rose et dans son regard posé sur sa ville on pouvait y lire une détermination sans faille. La douce Nagisa était ce matin une jeune fille sûre d’elle, prête à voler de ses propres ailes vers un avenir incertain mais main dans la main avec son cher Tomoya.
- Souvenirs passés:
Kuroko no Basket est animé/manga racontant les aventures de Kuroko Tetsuya, un jeune joueur de basket-ball dont le seul objectif est de mettre en lumière ses coéquipiers sur le terrain. Avant d'intégrer le lycée de Seirin, il jouait dans un collège avec des joueurs d'exception, la "Génération des Miracles".
Assis sur le banc de touche, Kuroko Tetsuya regardait ses coéquipiers lors de l'échauffement d'avant-match. Ce match allait être leur dernier. Il se souvient encore très bien de leur tout premier affrontement. A cette époque, ils ne se faisaient pas encore appeler la « Génération des Miracles » mais tout le monde attendait énormément d'eux. Il se remémorait la scène. Son ami Kise tentait, à la sueur de son front, de reproduire chaque mouvement de son modèle et rival: Aomine. Hélas, ses efforts étaient vains. De son coté, Midorima était assis sur le banc à coté de Kuroko, il ne voulait pas s'échauffer. L'entraineur était d'ailleurs venu lui faire la remarque. "Midorima, qu'est-ce que tu fais ? Va donc t'exercer ! Ce match est notre premier, tout le monde nous attend de pied ferme. Tout doit être parfait. - Je n'en ai pas besoin. Si vous voulez un panier, il suffit de me donner la balle et je me chargerais du reste." Il avait prononcé ses mots avec une telle confiance en lui que le coach en resta bouche-bée.
A quelques mètres de cette scène, on pouvait apercevoir Akashi et Murasakibara qui répétaient leurs gammes ensemble, sans se dire un seul mot. Leur coordination était parfaite. Le premier faisait quelques dribbles croisés puis passait la balle à son coéquipier qui n'avait plus qu'à se servir de sa taille et sa puissance pour déposer la balle dans le panier. A chaque dunk, il était à deux doigts d'arracher le cercle tellement Murasakibara faisait preuve de puissance. Ils répétaient cette séquence sans arrêt.
De son coté, Aomine était en retard comme d'habitude: « Je n'ai pas besoin de m'entraîner. Vous savez bien que j'excelle dans ce sport » avait-il affirmer la veille au staff. Point de vue basket, il n'avait pas tord, c'était un joueur exceptionnel mais son comportement agaçait tout le monde. Constamment en retard, il ne cessait de chambrer ses coéquipiers qui réagissaient au quart de tour.
Au bout du compte, ce match n'en fut pas un. L'équipe du collège de Teikô s'imposa sur le score sans appel de 119 à 8. C'est le seul score dont se souvient Kuroko. Cette année-là d'ailleurs, chaque rencontre finissait sur un score étriqué. Au fur et à mesure des matchs, des tensions se créait. Les égos des joueurs étaient un problème pour le groupe, chacun voulait absolument se mettre en avant. Cependant ils continuèrent à écraser tout le monde. Les adversaires finissaient leurs matchs sur les rotules tandis que les joueurs du collège de Teikô s'étaient à peine employé. Ils remportèrent donc le championnat haut la main malgré la mauvais ambiance qui régnait dans le groupe.
A la fin du collège, chacun des joueurs de la Génération des Miracles due choisir une école. Ils se séparèrent donc pour se retrouver plutard, mais dans des camps opposés. Kuroko choisit le lycée de Seirin, le lycée dans lequel il allait rencontrer un nouveau joueur exceptionnel à qui il allait promettre de battre ses anciens coéquipiers.
- Une belle journée... Oopa:
Kurisu était assise sur un banc, sirotant une canette de Dr Pepper qu’elle venait de prendre dans un distributeur en attendant que Mayuri arrive. Elle était un peu en avance pour le rendez-vous qu’elles s’étaient fixé. Les deux jeunes filles avaient en effet prévu de passer la journée ensemble, rien qu’entre filles. Ruka, qui devait aussi devait se joindre à elles, était un garçon mais cela “ne comptait pas” selon les termes de Mayuri puisque “Ruka est une fille comme nous, mais dans un corps de garçon”. Kurisu était toujours attendrie par la simplicité et la générosité de Mayuri. Elle était gentille avec tout le monde et acceptait chaque personne telle qu’elle était, sans que l’idée même de la juger ne lui vienne à l’esprit. Le fait que Ruka ait cette différence par rapport aux autres filles n’avait jamais dérangé non plus Kurisu, d’autant plus que Ruka était quelqu’un de très agréable. D’ailleurs, elle avait cru pendant longtemps que cette dernière était une fille comme les autres. Cependant, elle n’a jamais cherché à lui coller la moindre étiquette lorsqu’elle eut connaissance de la vérité, bien qu’elle en fût un peu surprise. En effet, Ruka avait un visage très doux et très féminin, parlait d’une voix basse et un peu aiguë et ne ressemblait à rien de plus qu’à une très jolie jeune fille.
Kurisu réfléchissait à ce qu’elles allaient faire cet après-midi. Elle savait déjà que Mayuri désirait ardemment aller au cinéma pour voir un film d’animation mettant en scène les figurines de petits panda que cette dernière collectionnait, les Oopa. Toutefois, la séance n’ayant lieu qu’en fin d’après-midi, le planning de cette journée comportait donc un vide à combler. La jeune fille craignait alors que Mayuri l’entraîne dans une convention de cosplayeurs et lui ferait porter une des tenues qu’elle venait de confectionner. Ce n’était pas que ces tenues n’étaient pas jolies, bien au contraire, Mayuri était réellement douée pour cela et réalisait toujours de jolies choses. Cependant, Kurisu était d’un naturel timide et n’aimait pas tellement s’exposer aux yeux de tous. Son incapacité de dire “non” face à la mine réjouie de son amie lorsqu’elle lui amenait un nouveau costume à essayer la faisait donc angoisser. Elle n’était pas non plus rassurée par l’idée que cet après-midi serait une occasion pour Mayuri de lui en faire porter à nouveau. Enfin, se rappela-t-elle, tout en passant les doigts dans ses longs cheveux roux : “Si cela arrive, Ruka sera aussi en costume”. Car la couturière passionnée aimait aussi beaucoup habiller Ruka de ses créations. Bien évidemment, si elle confectionnait toujours avec joie des cosplays pour ses modèles préférées, elle n’en faisait jamais pour elle-même. Encore une démonstration de la générosité de Mayuri, bien qu’à ce sujet-là, ces deux amies s’en seraient bien passée. Arrachée dans ses pensées jusqu’à l’arrivée de Mayuri la main en l’air en chantonnant son éternel “Tutturuu !”, Kurisu ne put s’empêcher de sourire comme en réponse à la bonne humeur communicative de son amie. “Bonjour Kurisu ! Désolée si je suis en retard... – Non non, c’est moi qui suis un peu en avance, assura Kurisu toujours souriante, d’ailleurs, Ruka n’est pas encore là.” à ces mots, Kurisu désigna de la main le banc sur lequel elle était assise, invitant ainsi son amie à la rejoindre. Lorsque cette dernière s’assit, Kurisu remarqua que Mayuri transportait un sac en papier plutôt volumineux.
L’angoisse de devoir porter à nouveau une création de son amie lui revenait lorsqu'elle regardait ce gros bagage dont elle n’osait demander quel était le contenu. Les deux amies restèrent alors silencieuses jusqu’à l’arrivée de Ruka, une dizaine de minutes plus tard. Ce dernier, en s’avançant timidement vers le banc où l’attendaient Mayuri et Kurisu, ne put s’empêcher de jeter un regard inquièt à cette dernière, à la vue du sac posé sur les genoux de Mayuri. “Et bien alors ? Quelle tête Ruka, tu ne te sens pas bien ? Interrogea Mayuri, quelques peu inquiète. – Non non excuse-moi.” lui répondit alors Ruka, les joues rougies par un mélange de gène et d’appréhension. Rassurée par cette réponse, Mayuri sortit alors de son sac deux costumes en claironnant fièrement : “Aujourd’hui les amies, vous allez vous transformer en deux adorables Oopa ! – Mais... Pourquoi ? Demanda Kurisu d’une voix trahissant son anxiété. – Pour remporter le concours et gagner deux places de cinéma pour le film que nous iront voir toute à l’heure ! – Mais et ta place à toi ? Pourquoi serais-tu la seule à dépenser pour le film ?” Demanda à son tour Ruka – Oh ne t’en fais pas : ce qui m’importe moi, c’est de vous voir en adorables petits panda !” Répondit Mayuri, sur un ton des plus enjoués, ce même ton et ce même sourire auxquels ses deux amis étaient incapables de refuser quoi que ce soit. Quelle ne fut leur surprise cependant, lorsqu’elles eurent vêti leurs tenues quelques instants plus tard dans les vestiaires de la salle où se déroulait le concours. En effet, Ruka et Kurisu s’attendaient à être simplement déguisés en panda mais c’était sans compter sur le désir d’originalité de Mayuri, qui souhaitait à tout prix que ses créations sortent du lot et mettent en valeur ses deux modèles préférés. Kurisu et Ruka découvrirent alors, un peu génés, combien un panda pouvait aussi être sexy aux yeux de Mayuri. Ils se retrouvèrent en effet, dans une tenue rappelant un peu la classique Bunny Girl mais version panda. C’étaient de très belles tenues, car Mayuri était très douée pour cela, mais pour Ruka et Kurisu qui avaient un tempérament plutôt réservé, devoir se montrer devant une salle entière vêtus de la sorte se révélait être une véritable épreuve à laquelle ils n’étaient toujours pas parvenus à s’habituer.
C’est ainsi que les deux “Panda Girls” défilèrent et séduisirent le jury malgré elles, juste avant de s’enfuir vers les vestières lorsque leur victoire fut annoncée. Quant à Mayuri, satisfaite et inspirée par cette victoire, elle imaginait déjà les prochains costumes qu’elle allait confectionner pour ses amis dévoués.
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OnigiriSama•••••••••••••••••••••••••• Nombre de messages : 1436Age : 31Localisation : BesançonDate d'inscription : 09/12/2010•••••••••••••••••••••••••• | Sujet: Re: [Ecriture] - Battle n°5 Mar 23 Avr - 12:26 | |
| Verdict : j'avais bien kiffé le deuxième car il traînait pas trop en longueur, il y avait plus ou moins de l'action, je me suis pas ennuyé une seconde et j'aime bien le thème abordé =D, j'avais donc voté pour "souvenirs passés". En plus, j'adore Kuroko no Basket donc bon! (IG Prod' oblige!)
Pour "La Prairie Merveilleuse", j'ai bien aimé le passage avec les dango, bien WTF comme j'aime! Mais sinon le reste je me suis un peu ennuyé. Ça faisait un peu trop truc à l'eau de rose à mon goût.
Pour le dernier, ça fait trop shojo "cul cul" et j'aime pas, désolé XD.
Voilà! Tout ceci n'est que subjectif comme vous l'avez compris. Je ne suis pas assez littéraire pour faire critique littéraire et adopter un point de vue objectif donc je me suis basé sur mes goûts (qui devraient être universels et reconnus comme objectifs, je ne le dirai jamais assez!) x). Je me suis donc orienté vers le texte qui m'a donné envie d'aller jusqu'au bout :P |
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